Voici
Après le permis de conduire
Ayant obtenu mon bac et mon permis de conduire avant les grandes vacances et avant d’aller en fac, je suis descendu dans le bordelais chez mon oncle et ma tante que je n’avais pas vu depuis au moins cinq ans, pour les aider aux vendanges.
Je savais qu’ils avaient deux enfants une grande fille et un garçon que je me rappelle avoir vus alors qu’ils avaient respectivement quinze et douze ans, je me souviens que mon cousin était blond, qu’il s’appelle Lucien et ma cousine marie était blonde.
Devant traverser la France en diagonale, mes parents m’avaient donné l’autorisation de m’y rendre en voiture à condition que je fasse une halte pour dormir à moitié chemin. Je réservais donc une chambre dans un première classe pour y passer la nuit. J’étais assez excité de faire ce long voyage et de retrouver le soleil.
Le jour du départ, ma voiture était prête, le plein, propre comme un sou neuf, je posais mes sacs dans le coffre, je gardais près de moi mes cd, à boire et la bouffe que m’avait préparée ma mère, sandwich, chips, gâteaux et friandises.
Je m’installais au volant, ma mère un peu inquiète me demanda de l’appeler depuis l’hôtel.
Je roulais depuis quelques heures vers le sud, le soleil m’accompagnait, ainsi que la musique de mes cd. Je savais que dans mes bagages j’avais emporté quelques revues gays pour la soirée à l’hôtel.
Midi arrivait et la faim commençait à se faire sentir, je cherchais un coin tranquille pour pique niquer, je remarquai un chemin qui traversait un bosquet d’arbres, je le suivis, au bout d’un kilomètre je trouvais un coin sympa à l’entrée d’un champ en plein soleil une aire herbue impeccable pour déjeuner.
Je pris dans mon sac ma serviette de bain que j’étalais sur l’herbe, mes victuailles à portée de main, j’enlevais mon t-shirt pour exposer mon torse aux rayons du soleil, c’était super, un air de début de vacances, je me sentais libre sans contrainte.
Je mangeais de bon appétit dans le calme de la campagne, seuls les oiseaux se faisaient entendre.
Me disant qu’à cet endroit personne ne pouvait me voir, j’allais prendre une revue dans mon sac, tout en la feuilletant, je commençais à sentir une envie de me dessaper, j’enlevais mon jean, restant un caleçon au cas où un paysan viendrait dans son champ. Cela ne m’empêcha pas de caresser mon chibre qui était assez dur, descendant ma main sur la verge vers les couilles en décalottant le gland, passant entre mes cuisses remontant mes boules pour investir le début de ma raie.
L’excitation augmentant, je m’assurai d’être seul pour enlever mon caleçon et me retrouver entièrement nu, le soleil et le vent caressaient mon corps, cette sensation que je ne connaissais pas m’enivrait au point de ne plus être attentif au danger d’être vu, je me masturbais de plus en plus fort, je sentais monter la sève, je me suis relevé pour éjaculer en longues giclées en dehors de ma serviette.
Au moment où je terminais, j’entendis une voix derrière moi qui me dit :
alors on se soulage dans mon champ ?
Je sursautais, en me retournant, je vis un homme d’une quarantaine d’années mal rasé, vêtu d’un marcel blanc, sur un torse extrêmement velu, d’un jean un pas très propre portant à la main un appareil photo avec un grand téléobjectif.
Je cherchais mes habits pour cacher ma nudité, mais il les avait pris.
Il me dit que ce n’était pas la première fois que des mecs ou des couples venaient s’envoyer en l’air dans ce champ, qu’il habitait au dessus du chemin et dès qu’il voyait une voiture s’engager sur son chemin il prenait son appareil photos pour prendre les gens en flagrant délit, qu’il se faisait une sacrée collection pour passer les longues soirées d’hiver. Je voulu protester lui disant qu’il n’avait pas le droit de faire ça, qu’il me rende mes habits.
« Pas avant que je fasses quelques photos de toi, si tu refuses, je garde aussi les clés de ta voiture »
Je commençais à comprendre que j’étais pris dans son piège et que je devais me résoudre à me soumettre.
d’accord lui répondis-je, mais promettez-moi de me laisser repartir.
Promis dit-il, mais tu dois m’obéir, sinon pas de clés. Tu vas commencer par te mettre debout face à moi les jambes écartées.
Je m exécutais, il s’approcha pour prendre en gros plan mon appareil génétique qui ne bandait plus, dont le prépuce recouvrait le gland, les testicules pendantes.
Il me dit de me décalotter en plusieurs étapes et jusqu’au maximum.
lorsque je te dirai stop du t’arrêteras pour que je prenne une photo.
Je tirais un peu sur la peau montrant le bout du gland, il dit stop et je vis le flash de l’appareil, j’étais à moitié du gland, stop et encore un flash, juste arrivé après le gland, stop encore et flash. Il me dit de tirer à fond la peau, le gland était complètement dégagé, cette manipulation commençait à me refaire bander. Il continuait ses prises de vues en disant que cela me faisait de l’effet.
Je vois que tu es docile me dit-il, je vais en prendre d’autres, tu vas te mettre à quatre pattes, le cul en l’air, je me mis en position, il s’accroupit, m’écartant les cuisses pour mieux mater l’ensemble, il avait une vue panoramique sur ma raie poilue et mes couilles rasées.
Mets-toi sur le dos, relève les jambes et écartes tes fesses avec les mains, je veux avoir tout de ton intimité. Ecarte encore plus cria-t-il je n’en vois pas assez. Cette injonction s’accompagna d’une claque sur les fesses qui me fit m’exécuter immédiatement. Maintenant j’étais tellement écarté que je sentais l’air frais me caresser la rondelle ce qui m’excita encore plus, maintenant je bandais dur.
Cette séance de photos m’a aussi excité que toi, aussi avant de partir tu vas me branler, n’oublies pas que j’ai toujours tes clés.
Il enleva son marcel et son jean, je n’avais jamais vu un mec aussi poilu, un vrai ours, sa queue était perdue dans une forêt de poils noirs, il en avait partout sur le corps. Sa bite était en proportion du mec, c'est-à-dire pas très grande mais très épaisse, il bandait comme un âne. Il se mit à quatre pattes et me dit de le branler, je saisis son membre, j’arrivais juste à en faire le tour avec ma main, je commençais mon va et vient, j’avais l’impression de traire une vache, il devait avoir les burnes pleines car en quelques mouvements il cracha sa semence, à chaque jets, il donnait un coup de reins comme pour envoyer le plus loin possible son sperme. J’en avais plein la main.
A la fin il se releva me lança mes frusques et mes clés, ramassa ses habits et disparut dans un petit raidillon que je n’avais pas remarqué dans le bosquet d’arbres.
Je remis aussi mes habits, rangeait mes affaires, pris le volant pour poursuivre ma route.
Cet entracte inattendu dans mon voyage me fit prendre du retard sur mon horaire.
Pendant le restant du chemin à faire pour arriver à l’hôtel, je repensais à mon pique nique et ce paysan et son énorme bite – je me demandais si c’était les travaux des champs ou autre chose qui lui avait donné un membre aussi impressionnant - et dire qu’il se branlerait en matant toutes ses photos, je fantasmais en imaginant un tas de scènes plus érotiques les une que les autres
Et les miennes dont je me rappelai les différentes postures.
En remontant dans ma voiture, je remarquais que l’herbe était plus verte.
Prochain épisode qui s’appelle A L’HOTEL
A L’ HOTEL
J’arrivais à l’hôtel vers21 h, heureusement j’avais le code de la chambre, ce qui me permit d’entrer alors que l’accueil était fermé.
Je posais mon sac et mes affaires, sans attendre je voulais prendre une douche.
Je restais assez longtemps sous cette eau chaude pour me détendre de ce début de voyage.
Une fois pris ce moment de plaisir, je m’étendis à poil sur le lit lorsque le téléphone sonna, c’était ma mère qui s’inquiétait de ne pas avoir de nouvelle, je lui racontais qu’il y avait eu une déviation et qu’en suite je m’étais perdu, que tout allait bien, je venais de prendre une douche pour me détendre qu’une bonne nuit me ferait du bien.
Je finissais de grignoter ce qui me restait de mon pique nique en matant un journal rempli de photos de mecs dans des positions plus suggestives les unes que les autres, je recommençais à bander tout en suçant un tube de lait concentré, lorsqu’une goutte tomba sur ma queue, je ne pouvais pas la lécher – ce n’est pas faute d’essayer, mais il manque quelques centimètres – mon doigt essuya ce nectar.
D’un seul coup, la porte de ma chambre s’ouvrit, juste le temps de voir la tête d’un jeune mec, qui sans aucun doute m’avait vu à poil sur mon lit la bite recouverte encore de lait concentré, il referma tout de suite, puis ouvrit de nouveau la porte plus lentement, -j’eus le temps de me recouvrir de couvre lit – m’expliquant qu’il venait de pendre une chambre au distributeur automatique qui lui avait délivré ce ticket. Il s’approcha pour me le montrer, en effet, c’était la même chambre mais un code différent.
La réception est fermée à cette heure, lui dis-je, il y a un lit au-dessus, si vous voulez l’utiliser, nous verrons demain.
Merci me répondit-il, je suis représentant, j’ai eu une journée fatigante.
Je peux prendre une douche ?
Sans problème, je viens juste d’en prendre une.
Pendant qu’il commençait à de déshabiller, je pus le mater à loisir, il devait avoir dans les 25 ans, les cheveux noirs et frisés comme un mouton, bien sapé, je dirai même assez chic, lorsqu’il enleva sa chemise, son tors recouvert d’une toison clairsemée, j’attendais qu’il ôte son pantalon, ce qu’il fit pour laisser voir un caleçon impeccable, ce type était soigné.
Je me demandais si il allait enlever son caleçon avant d’entrer dans la minuscule douche.
Sans gêne et face à moi, il enleva l’écrin qui me montrait un sexe long, assez fin avec son prépuce, des testicules pendantes, un vrai modèle de sculpteur, le tout entouré d’une pilosité généreuse et super entretenue.
Il pénétra dans la douche, j’entendais l’eau couler et je l’imaginais se savonnant partout, partout.
Si il avait soulevé le couvre lit il aurait vu mon excitation maximum, d’ailleurs je l’entretenais avec ma main.
D’un seul coup la porte du cabinet de toilette s’ouvrit il me dit qu’il oublié son shampoing sur la petite table, si je pouvais lui passer. J’étais mal à l’aise de me lever à poil et bandé comme un arc, et puis je me dis tant pis on ne sait jamais si il apprécierait mon anatomie.
Je retirai le couvre-lit, me dirigeai vers la bouteille, pendant qu’il me regardait le visage ruisselant. Au moment où je lui tendis son shampoing, il me dit : »je vois que la chaleur dilate les corps, j’ai aussi très chaud dans cette douche, en effet je pus constater que son sexe était à moitié bandé mais décalotté, superbe objet.
Je retournais sur le lit, mais cette fois je ne remis pas le couvre-lit en continuant de feuilleter mon magazine, certain que cela l’intéresserait.
Il sortit de la douche en finissant de s’essuyer, me tournant le dos, je pus voir ses fesses musclées, la raie poilue, il me fit face m’exhibant son membre dressé, je pouvais constater qu’il était plus long que le mien pourtant aussi raide.
Je vois que nous avons les mêmes lectures, je ne vais pas dormir en haut, il y a de la place pour deux en bas.
Sans attendre, il se jeta sur moi m’embrassant goulument, nos sexes serrés l’un contre l’autre, il continua de m’embrasser dans le cou, descendant doucement vers mes tétons, je commençais à geindre du plaisir que cela me procurait lorsqu’il les mordillait doucement.
Lorsqu’il descendait, je sentais son ventre frotter sur mon sexe ce qui le décalotta, , puis le calotta de nouveau en remontant, il fallait que je réagisse si je ne voulais pas éjaculer trop tôt.
Je le fis rouler pour le mettre sur le dos et me retrouver sur lui, il se laissa faire, je caressais son torse velu, avec ma joue, cela était doux et sentait bon, je descendis vers son nombril que ma langue explorait, puis ma bouche happa son gland turgescent, je le dégustais, l’enduisant de salive pour qu’il glisse encore mieux dans ma bouche, je voulais aller le plus loin possible, je le sentais se raidir, espérant qu’il n’éjacule pas tout de suite, je quittais ce sucre d’orge pour lui lécher ses couilles, il se laissait faire, appréciant mes soins. J’écartais ses cuisses pour les butiner jusqu’à l’aine, c’était un vrai régal.
Il attrapa mes jambes pour me faire comprendre qu’il voulait me rendre la pareille, nous somme retrouvés tête bêche, chacun s’appliquant à la besogne.
A un moment, il me souleva le bassin pour aller titiller mon anus, je sentais sa langue explorer cette zone que je lui dis encore vierge, mais devant une telle dextérité, je décidais l’aller jusqu’au bout. Il le devina, puisqu’il me fit mettre à quatre pattes, écartant mes fesses pour aller encore plus loin dans ses investigations, salivant suffisamment pour y enfoncer un doigt, ce qui produisit une sensation de plaisir intense, le deuxième doigt n’eut pas de peine à y entrer tellement il y allait avec douceur. Il massa mon sphyncter pour qu’il se détende.
Je sentis son gland recouvert d’un préservatif toucher mon anus et doucement me pénétrer pour la première fois. Il s’enfonça doucement jusqu’à ce que ses poils touchent mes fesses, puis se retira lentement, puis recommença son va et vient de plus en plus rapide, Devant une telle sensation de plaisir, je le laissais faire ce qu’il voulait de moi, parfois une main me saisissait mon sexe toujours aussi dur pour le branler.
Au bout d’un moment il se bloqua sur mes fesses, je sentis les contractions de son éjaculation.
Lorsqu’il se retira, mon anus était en feu, il le massa pour éteindre de feu du plaisir.
Un vrai étalon, puisqu’à peine le préservatif plein à ras bord, retiré il rebandait. Quand à moi j’avais toujours les bourses pleines que je voulais vider, je commençais à me branler plus rapidement, il s’en saisit pour le faire à ma place, il avait un sacré mouvement, remontant jusqu’en au du gland, redescendant jusqu’au début des boules, il le sentait de plus en plus dur, sa bouche s’empala dessus, me pompant avec un tel talent que la sève jaillit, je voulus me retirer, mais il me retint en me tenant les fesses, je dus lui cracher tout ma liqueur qu’il avala comme du sirop.
Après nous être lavés, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Au petit matin, je me suis levé pour aller pisser, j’avais allumé une petite lampe pour ne pas le reveiller, au moment de me recoucher, je voyais son corps nu allongé sur le dos et son sexe dressé, je me suis allongé contre lui, caressant son corps, son sexe, ses couilles, tout me plaisait dans ce mec.
Je ne sais pas si il dormait ou faisait semblant, en tout cas il se laissait faire, je profitais de son corps. A un moment il se mit sur le ventre, je pouvais profiter de son cul que séparait une rangée de poils. J’écartais doucement ses fesses, je voyais sa raie touffue, je la trouvais attirante, j’arrivais jusqu’à sa rondelle rasée juste autour, je me surpris à y mettre ma langue, essayant d’y pénétrer comme il me l’avait fait. Il remonta son bassin, je lubrifiais de ma salive cette rosette, puis mon sexe encapuchonné le pénétra sans difficulté. Je le limais, je l’entendis gémir me laissant faire à ma guise, nos couilles parfois se heurtaient.
Après plusieurs va et vient, je jouis dans ses entrailles, je retirai le préservatif, m’allongeant sur son dos. A ce moment je l’entendis dire : »Super merci »
Je restais un moment dans cette position.
Le jour se levait, il se leva le premier investit le cabinet de toilettes en ressortit rasé parfumé, en un mot superbe.
J’investis à mon tour la douche, en ressortant il était habillé, m’attendant pour aller petit déjeuner et régler le problème de la chambre.
A l’accueil on nous expliqua qu’une erreur informatique était la cause de nos désagréments, nous reçûmes des excuses et le remboursement du trop perçu.
Il me donna la somme en me disant que lui se ferait rembourser par sa boite.
Nous nous sommes quittés sur le parking de l’hôtel, j’aurai bien voulu l’embrasser avant de reprendre la route, mais trop de monde.
J’eus juste le temps de lui dire que ce fut une nuit de conte de fée, que j’aimerais bien le revoir un jour.
Il me répondit : »qui sait, au hasard », me fit un beau sourire et un clin d’œil, s’engouffra dans sa voiture et disparu.
J’était à la fois joyeux et triste en reprenant ma route.
La suite s’appellera : Mon séjour au domaine
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