Vendredi 8 mai
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Le bizutage de Pascal a eu lieu quelques jours aprés la rentrée des vacanaces de Paques. Le tirage au sort du bizut du week-end lui avait été défavorable et lorsque son nom avait été prononcé à
haute voix par le maître de cérémonie, Pascal venait de comprendre qu'il allait passer une mauvaise aprés midi. Son épreuve lui fut signifiée par Helène la plus délurée des filles de la section.
"Rendez vous à 15 heures devant l'arrêt du bus à la sortie du Lycée. Tu devras porter un jeans et un tee shirt. Tu prendras avec toi une corde de trois mètres au minimum" lui dit elle à haute et
intelligible voix. A 15 heures précise, il se présenta devant l'arrêt du bus et il pu constater que toutes les filles de la classe de terminale C étaient là ainsi qu'une grande majorité des
garçons.
Il tendit à Helène la corde qu'elle lui avait demandé d'apporté et attendit le bus, sans broncher et sans oser poser de questions sur son futur bizutage. Une fois installés à l'arrière du bus, on
lui mit un baillon sur les yeux et il se retrouva dans le noir, ne sachant pas ou l'on allait le conduire. Les filles lui tenaient les mains pour lui oter toute envie de s'enfuir. Lorsqu'on lui
tira les mains vers le haut, il comprit qu'il fallait descendre et se mit à marcher avec hésitation. Les filles l'aidèrent à poser l'un aprés l'autre ses pieds des marches. Une fois en bas une
longue marche commença. Sous ses pieds le bitume se changea soudain en revêtement souple. Ils arrivaient en forêt. Pascal sentais l'odeur typique de la forêt et le fait d'avoir les yeux bandés
mettait en exergue ses autres sens. Au bout d'une marche qui dura un bon quart d'heure, on lui fit lever les mains vers le haut au dessus de sa tête. Il sentis passer autour de ses poignets, un
noeud coullant qui se reserra d'un coup sec, lui emprisonnant les poignets ensemble. L'une des filles prit le bout de la corde et le lanca en l'air afin qu'il passe autour de la branche qui se
trouvait au dessus de la tête de Pascal. La branche devait servir de poulie afin de pouvoir tirer vers le haut les bras du prisonnier. En quelques secondezs Pascal se retrouvait les mains liées
contre l'arbre et il lui était impossible de bouger les mains qui était plaquées contre le tronc du grand arbre. Helène vérifia que le noeud coullant était bien en place et une fois qu'elle eu la
certitude que Pascal ne pourrait défaire ses liens, elle s'approcha de lui et se retourna vers les filles. " Et maintenant, la mise à l'air" se mit-elle à annoncer sous les applaudissements des
élèves. Helène passa ses mains autour de la taille de Pascal et commença à défaire la boucle de la ceinture de son pantalon. Elle continua en defaisant un à un les boutons de la braguette. Une fois
largement ouvert elle tira d'un coup vers le bas et le jeans se retrouva sur les cuisses de Pascal. Il était maintenant seulement vétu de son calçon et de son tee shirt. Helène lui retroussa le tee
shirt sur la poitrine afin de mieux l'offrir en spectacle. Elle se mit à faire glisser lentement le calçon bleu et peu à peu les filles purent voir apparaitre les fesses blanches de Pascal. Pour
faire durer le spectacle elle s'arréta lorsque le calçon se retrouva juste sous ses fesses. Pascal devait à la fois écarter un peu les jambes pour empécher le pantalon et le calçon de tomber sur
ses chevilles, mais il devait en même temps veiller à ne pas trop les écarter sou peine de montrer à toute les filles sont entre jambe. "Tu as de belle fesses" dit helène. "Mais il faut leur faire
prendre le soleil, tu es blanc comme un cachet d'aspirine". "Plus bas, plus bas" demandaient les filles. Helène tira le jean jusqu'au chevilles de Pascal puis elle saisi le calçon à deux mains et
recommança à le faire glisser sur les cuisses. Elle arréta sa descente une fois qu'il se trouva sous les genous de Pascal ui tentait d'écarter les cuisses pour éviter une mise à l'air totale. Mais
rien n'y fit il se retrouva avec les fesses complètement dénudée et une vue imprenable sur ses testicules et sur sur son anus que sa pilosité n'arrivait pas à cacher complètement. On voyait ses
deux testicules qui pendaient entre ses jambes et les filles se mirent à commenter leur forme et leur grosseur. Pascal ne savait plus comment se mettre pour cacher sa nudité. Lui qui était trés
pubdique avait du mal à supporter de se retrouver nu devant tous ses copains et copines de classe. Les filles faisaient aussi le tour de l'arbre pour regarder son pénis et en faire aussi des
commentaires, et il avait beau essayer de se contornionner, il ne pouvait plus rien dissimuler de ses parties intimes.
"Tu vas rester là toute l'aprés midi" lui indiqua Helène. "Quand tu auras bien prit le soleil nous viendrons te déliver.J'espère pour toi que personne ne va venir se promener par ici. Sinon
ça va être la honte de ta vie" Au moment de partir, une des filles lui remit le bandeau sur les yeux. Elle serra au maximum le noeud pour éviter que Pascal puisse le faire glisser. Pascal se
retrouvait maintenant sul en pleine forêt avec aucun moyen de voir si quelqu'un venait. Il allait devoir attendre de longues heures la délivrance. Pourvu que personne ne vienne. Au bout de quelques
heures. Il ressenti une effroyable envie de se soulager. Il avait beaucoup de mal à se retenir et il ne pouvait se résoudre à defféquer. C'était certainement le froid sur son ventre et sur ses
fesses qui lui donnait une telle envie de se vider. Des crampes lui nouaient de plus en plus le ventre. Il commençait à transpirer à force de se contracter pour ne pas céder. Les heures passaient
et toujours personne pour venir le déliver. Soudain, alors qu'il se tordait de douleur il senti une main lui caresser les fesses. Cette caresse eut pour effet de le faire frissoner un peu plus.
"Pitié, je ne peux plus me retenir, j'ai envie de chier, je n'en peux plus" cria t-il dans l'espoir qu'on le détache. Comble de l'horreur, il sentit soudain un doigt inquisiteur qui lui grattait
l'anus. "Non pas ça" supplia t-il. Le doigt inconnu continuait sa progression et lorsqu'il commença à pénétrer et à forcer ses sphincters, il comprit qu'il ne pouvait attendre aucun secours de la
personne qui le violait et qui n'avait qu'une envie le voir se vider devant lui dans cette position ridicule. Pascal hurla de honte et de rage et soudain il senti que ses sphnicters lachaient. Il
ne pu rentenir les matières fécales et essaya de s'accroupir pour éviter de se salir. Il sentit bientôt une main qui passait entre ses jambes et qui commencait à l'essuyer avec se qu'il cru
reconnaitre comme des lingettes de bébé. Malgré la honte et l'humiliation de la position, il devait bien reconnaitre que cela était plutot agréable. Une fois essuyé, il senti qu'on lui remettait en
place son calçon et son pantalon. Il fut rhabillé entièrement et lorsque le bandeau délié tomba sur ses épaules, il vit toute les filles et les garçons qui lui faisaient face. Il était mort de
honte, il eut envie de fuir mais ses mains étaient encore attachées en l'air. " Ca c'est un vrai bizutage" dit Helène en continuant à le détacher. Une fois délivré il s'enfuit en courant afin
d'achapper aux reflexions qu'ils ne pourrait entendre sns se mettre à fondre en larmes. Pascal venait de passer sa pire journée d'étudiant.......
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