Un souvenir cuisant :
L’été de mes quinze ans, nous étions partis en camping dans les Pyrénées pour tout le mois d’août. Le camping était très agréable et les enfants de mon âge étaient nombreux.
Une bande d’une dizaine de filles et garçons qui passaient la majeure partie de leur journée ensemble avait retenu mon attention. Je décidais, pour ne pas rester seul dans mon coin, d’essayer
d’entrer dans cette bande.
Le soir même je rencontrais aux douches celui qui me paraissait être le chef de bande. Il devait avoir au moins seize ans et il était bien plus grand que moi. Je lui fis part de mon désir et
me répondit qu’il n’y voyait pas d’inconvénient si je réussissais le test de courage. Je pensais qu’il devait s’agir d’un test physique et lui donnait mon accord pour le lendemain.
Le lendemain matin toute la bande était réunie et Pierre, le chef m’expliqua en quoi consistait l’examen de passage.
Chaque membre de la bande allait écrire sur un morceau de papier un gage que je devrais obligatoirement réaliser sous peine de ne pouvoir rentrer dans la bande. Je devrais tirer au hasard
Trois gages à réaliser sous 24 heures maximum. Si l’un des gages était refus par moi, je devrais en tirer deux autres et les accomplir dans les délais impartis.
Au fur et à mesure que le bob de Pierre se remplissait des mots de chacun, je me demandais quels allaient être les épreuves à réaliser. Le nombre de filles et de garçons étant à peu prés
identiques, je pensais pouvoir m’en sortir facilement et ne pas avoir à trop souffrir.
Une fois tous les papiers remis à Pierre, je dus m’avancer pour tirer trois gages. Je devais les lire à haute voie et dire si oui ou non je les acceptais.
Je tirais un premier papier.
Il semblait avoir été rédigé par une fille car l’écriture était très régulière. Son texte :
Tu devras rentrer en fin d’après midi dans les douches des femmes et prendre une véritable douche complète, comme si tu été une fille. Ca commençait mal et je ne pouvais refuser sous peine de
devoir retirer un gage supplémentaire. J’acceptais donc le gage.
Le second papier était manifestement écrit par un garçon.
Je devais grimper tout en haut du grand arbre situé prés des courts de tennis et jeter en bas tous mes vêtements.
J’avais vécu pire et je me dis que je pourrais rapidement regagner ma tente.
Le troisième me paru impossible à accepter car je devais devant tout le monde m’enduire le corps de mes propres excréments.
Je choisi donc de tirer deux autres gages supplémentaires.
Le premier consistait à faire une partie de strip poker avec les filles, et le second consistait à traverser sans courir de nuit tout le camp, tout nu avec mon slip sur la tête. J’étais
obligé d’accepter, mais j’étais rassuré par le fait que le gage devait être réalisé de nuit.
Moi qui avais espéré un moment que les épreuves seraient des épreuves physique, je m’étais lourdement trompé.
Mais la réussite de mes vacances était à ce prix là.
Vers quatre heure de l’après midi je dus me rendre aux douches sous la surveillance à distance de toute la bande. Une des filles devait même venir constater si je respectais bien les
consignes une fois entré dans les douches.
Par bonheur il n’y avait encore personne. Les douches des femmes ressemblaient à celles des garçons à ceci prés qu’aucun mur ni porte ne séparait chaque douche. Il fallait que je fasse vite
avant qu’une femme se présente et je me mis rapidement tout nu sous la douche pour exécuter mon gage. S’entendit l’une des filles me dire que je devais absolument me savonner entièrement le
corps. Un tube de gel douche était posé à coté du vestiaire et je devais m’en servir.
Je pris donc en main le gel et pour ne pas perdre de temps je le vidais presque entièrement sur mon corps pour en finir au plus vite. Je me rendis compte immédiatement que quelque chose
clochait. Le gel contenait du bleu de Mytilène et tous mon corps été maintenant couvert de teinture bleu. Le piège. J’étais tombé dans le panneau pour avoir voulu aller trop vite. J’aurais du
me douter que ce gel ne pouvait être là par hasard.
Je cherchais rapidement un moyen de me nettoyer et faire partir cette teinture avant quelle sèche sur mon corps. J’aperçu un reste de savon au fond d’un bac à douche et je me précipitais
dessus pour m’en servir. Au moment où je me baissais pour le ramasser j’entendis les voies de deux femmes qui venaient de rentrer pour se doucher. Sans faire attention à moi, elles se
déshabillèrent et se mirent ensemble sous les douches situées à coté de moi. Pour ne pas me faire voir je leur tournais le dos, mais je me rendis compte que j’étais encore couvert de teinture
sur le ventre et sur le sexe.
Je filais en douce aux vestiaires avant qu’elles ne s’en aperçoivent et donnent l’alerte. Une fois dans les vestiaires je remis mes affaires et sortais des douches encore couvert de
bleu. Je courais me réfugier dans ma tente situé à coté de la caravane de mes parents.
Une fois dedans et à l’abri des regards, je me déshabillais à nouveau et j’entrepris de me laver à l’aide de mon savon personnel de la pierre ponce que j’emporte toujours dans ma trousse de
toilette et de la bouteille d’eau qui était à coté de mon matelas pneumatique. Heureusement qu’elle était là et bien remplie pour me rince le corps.
Après plus d’une demi-heure de ponçage et de lavage je fini par venir à bout de la teinture et décidait de rejoindre la bande pour leur montrer que j’avais réussi la première épreuve.
La bande me félicita pour cet exploit et Pierre me dit que je devais dans une heure grimper en haut de l’arbre des tennis.
A l’heure dite, je commençais mon ascension et une fois arrivé sur la plate forme installée au milieu des plus grosses branches, je m’assis pour me dévêtir. Pierre me demandais de lui envoyer
tous mes vêtements. Cela se cantonnait à mon bermuda de plage et mon tee-shirt.
Une fois débarrassé de mes vêtements je devais attendre au moins trente minutes en haut de l’arbre. Je ne comprenais pas les raisons de cette attente, mais j’acceptais car toute la bande me
surveillait de l’autre coté des tennis.
Une fois Pierre parti je restais assis et commençait à compter les minutes. Au bout de cinq minutes je fus intrigué par un bruit de ronflement dans l’arbre. C’était un disjoncteur qui se
mettait en marche. En fait l’arbre était entièrement éclairé pour la nuit et la plate forme était également surmontée d’un gros spot qui m’éblouissait et qui montrait à tous les joueurs ma
nudité. Je ne savais pas comment me cacher car instinctivement les regards de plusieurs joueurs s’étaient portés sur cette nouvelle lumière. J’entendis des rires provenant du court le plus
proche. Heureusement avec mes mains je pouvais me cacher le sexe et éviter de tout montrer de mon anatomie. Les joueurs après avoir ri de moi un moment reprirent leur partie.
Au bout de minutes qui me parurent une éternité, je vis arriver Pierre qui me redonna mes vêtements. Second examen de passage réussi.
Une fois rhabillé, les garçons de la bande me dirent d’aller dans le local d’activités multiples réservé aux filles et de les rejoindre là-bas.
La salle n’était pas très éloignée et je pénétrais à l’intérieur ou toutes les filles de la bande m’attendaient.
La table de poker était installée et cinq filles avaient été désignées pour jouer contre moi.
La partie allait commencer et la règle était simple des allumettes pour les mises, un vêtement de perdu en cas de défaite.
Le début de la partie était en ma faveur mais les filles qui avaient prévu le coup étaient bien plus habillées que moi. Pantalon, slip, soutient gorge, tee-shirt, gilet et casquettes. Je
n’avais pas pensé à me vêtir en conséquence.
Après quelques parties équilibrés je fus vite mis en situation difficile car manifestement les filles faisaient en sorte de me faire perdre. J’étais maintenant vêtu de mon seul bermuda.
Le coup suivant je perdais la partie et devait leur donner mon dernier vêtement. C’était dur de me mettre nu devant des filles inconnues et qui n’attendais que cela pour me regarder.
Je fus obligé de me mettre debout à coté de la table et lorsque je fis descendre mon bermuda sur mes chevilles les rires fusèrent et les réflexions sur mon anatomie allèrent bon train car je
ne pouvais cacher mon érection et ma verge était maintenant à l'horizontale. La plus agée des filles me prit par l'épaule et me placa au milieu de la pièce pour que toutes les filles puissent
profiter du spectacle.
Je devais rester là planté debout les mains sur la tête pendant cinq minutes le temps que la partie se termine avec les autres joueuses.
Pendant la suite de la partie les filles se retournaient constamment pour me regarder. Ma honte était visible et je rougissais de tout mon corps car je ne pouvais rien cacher à leur vue car
mes mains devaient obligatoirement rester sur ma tête jusqu’à la fin de la partie.
Une autre fille très mignonne commençait aussi à perdre et je fus ravi de la voir se déshabiller entièrement pour me rejoindre. Elle prit mon sexe dans sa main droite et commenca à me
caresser pour me faire rebander. Elle mit ses doigts dans ma bouche et me les fit sucer en même temps pour marquer le rythme.
Pour mieux me branler, elle me fit assoir sur une chaise et continua de me caresser le bout du gland, alors qu'avec sa main gauche, elle me pinçait la peau de mes bourses et jouait à faire
rouler mes testicules dans sa main en les pressant comme des citrons.
Au bout de seulement une minute, je ne pu me retenir et je jouissais en un jet continu, tout honteux de me vider ainsi devant toutes ces filles qui étaient hilares de me voir éjaculer.
La partie durait un temps fou car chacune regagnait à son tour. Au bout de presque une heure, nous étions enfin cinq à être exposés tout nu aux regards des autres filles. Mais je
comprenais bien que la nudité des autres filles n’était qu’un prétexte pour pouvoir me regarder plus longtemps.
Cette humiliation fut très pénible car dorénavant chaque fille connaitrait tout de mon anatomie. Mais j’avais quand même remporté le troisième défi.
Toute la bande se retrouvait au bar du camping à dix heures précises. Je devais être là et je dus mentir à mes parents et prétexter une envie pressante pour m’éclipser.
Le signal de départ me fut signifié et je dus enlever mon tee shirt, mon maillot et poser celui-ci sur ma tête. Pierre me dit que je devais attendre que les autres rejoignent la sortie
du camping pour me voir arriver.
Je m’assis à une table en priant le ciel que personne ne vienne s’y asseoir.
Au top départ, Pierre me rappela que si je courais, le gage serait perdu et je ne serais pas accepté dans la bande.
Prenant mon courage à deux mains, je me levais et commençait à marcher en direction de la sortie du camp qui était à environ cinq cent mètres. Pour cacher ma nudité à tous les passants, je
mettais mes deux mains devant mon sexe et essayait de rester stoïque. De nombreux promeneurs dans le camp m’observaient en se demandant si je n’étais pas fou de me promener ainsi tout nu avec
mon maillot sur la tête. Des enfants riant en voyant mes fesses dénudées. Quelques femmes gloussèrent sur mon passage et l’une d’elle prit même une photo. J’étais littéralement mort de honte,
mais je devais continuer sans courir pour gagner mon pari.
Heureusement je pouvais cacher mon sexe et seulement mes fesses étaient exposées à la vue de tous.
La sortie du camping arrivait enfin et je pus me rhabiller avec l’accord de toute la bande qui me félicita des tous ces exploits. J’étais accepté. Pour la première fois de ma vie, j’avais
vaincu ma timidité et mes complexes.
Au bout de quelques jours j’étais enfin intégré à la bande et j’avais de plus en plus d’affinités avec Marie une jolie brune à la poitrine généreuse. Au fil des jours nous devenions
inséparable et le fait de m’avoir vu dans une posture humiliante ne semblait pas la gêner ni du reste les particularités de mon anatomie. Notre complicité semblait faire des jaloux et Marc
qui semblait aussi convoiter Marie n’appréciait pas notre début de relation. Un après midi ou nous nous promenions dans les allées du camping et je trouvais par terre le portefeuille de
Marc. Il avait du le faire tomber en rentrant de la superette du camping.
Curieux nous décidions de regarder à l’intérieur. Là comble de surprise il y avait des photos de Marc habillé en fille. Qui les avaient prise ? Nous ne le saurons certainement jamais.
Pour nous venger de sa jalousie nous avons cru malin de coller toutes les photos sur le panneau de réservation du tennis. Sachant que Marc jouait tous les soirs une partie en double mixte,
notre vengeance été assurée de réussir.
Pour ne pas être reconnu nous déposions le portefeuille de Marc devant la caravane de ses parents.
Bien décider à profiter du spectacle nous avons décidé de trainer autour du terrain de tennis en attendant que Marc et ses copains arrivent. Quelques minutes plus tard, il arrivait en
compagnie de Jérôme, Stéphanie et Luce. Pour prendre la clef il fallait barrait sa réservation et tous trois se retrouvèrent devant le panneau éclairé ou les photos étaient exposés
montrant Marc dans une attitude plus qu’équivoque.
Ne pouvant se justifier et rouge de colère il arracha les photos et parti en courant se réfugier chez ses parents. Sans que nous puissions nous en douter, la mère de marc nous avait vu par la
fenêtre de la caravane déposer le portefeuille et elle n’avait pu nous remercier de vive voie car nous étions parts au plus vite. Marc allait être informé à notre insu par sa mère de
l’identité des auteurs de cette mauvaise farce.
Le lendemain, une promenade et un repas en forêt était organisée. Nous étions Marie et moi partis devant les autres afin d’être un peu seul. Après une bonne heure de marche nous étions en vue
du mont Canigou et nous décidâmes de nous reposer un petit peu.
Alors que nous étions allongés dans l’herbe l’un contre l’autre, une véritable horde sauvage nous tomba dessus. Sans pouvoir réagir et savoir qui était nos agresseurs nous nous retrouvions
attachés contre un gros sapin le ventre contre le tronc et saucissonnés par une longue corde qui nous prenait les mains et le corps.
Pour finir le tout nos agresseurs nous avait mis un bandeau sur les yeux et aussi un bâillon pour étouffer nos cris. Je sentais les mains de Marie qui de l’autre coté de l’arbre tremblait
comme une feuille. La peur nous paralysait car nous n’avions aucune idée sur l’identité de nos bourreaux.
Je sentis que l’on m’enfonçait dans les oreilles quelque chose de souple et tout à coup le silence se fit, je n’entendais plus rien. Des boules « quies » pour nous empêcher de
reconnaître ces voyous.
Ainsi plaqué contre le tronc de l’arbre, bâillonné, les yeux bandés et dans l’impossibilité d’entendre le moindre bruit, notre situation était catastrophique.
Nous en étions réduits à imaginer la suite des événements. Les mains de Marie étaient toutes moites et tremblaient de plus en plus. J’essayai de les serrer pour lui montrer que je partageais
sa tristesse.
Les minutes me parurent interminables et soudain ce fut la surprise et bien vite la panique.
Je sentais que l’on défaisait la ceinture de mon short. En un instant je sentis mon short et mon slip descendre sur mes talons. je me retrouvais les fesses exposées à mes bourreaux, nu ligoté
sans pouvoir faire le moindre mouvement de défense. Mon sexe frottait sur le tronc d’arbre et ce contact rugeux me faisait déjà mal. Mais ce n’étais que le début des supplices.
Je sentais passer quelque chose sur mes fesses et soudain mes fesses s mirent à me bruler. Ce contact inconnu n’étais pas des branches mais plutôt des feuilles. Je réalisais soudain qu’il
s’agissait certainelent de bouquets d’orties, car mes fesses me brulaient de plus en plus et la douleur devenait insupportable a chaque passage.
J’avais beau essayer de me débattre en me tortillant contre l’arbre, le feuillage revenait régulièrement et je sentais immédiatement la brulure sur mes fesses qui devaient être dans un drôle
d’état.
Ne pouvant prévoir le moment ou les orties touchaient mes fesses, j’étais chaque fois pris au dépourvu et la surprise s’ajoutait à la souffrance. J’espérais que Marie ne subissait pas le même
sort.
Je sentis soudain que les feuilles passaient entre mes jambes et se faufilaient vers mon anus et vers mon pénis. La brulure me fit me tordre de douleur et chaque passage des feuilles sur mon
sexe et sur mes bourses me procurait une douleur violente. Pour finir je sentis que l’on enfonçait le bouquet d’orties dans la raie de mes fesses. Il m’était impossible d’empêcher ce nouveau
supplice. La douleur et la brulure se propageait dans tout mon corps, j’étais en larmes et en nage ruisselant de sueur. La douleur que je resentaais dans ma raie des fesses était à la limite
du supportable. J'aurais voulu hurler ma douleur mais je ne réussisait qu'à emettre un son ridicule.
Au bout d’un temps qui me paru infini je sentis que l’on détachait nos mains. Nous étions toujours maintenus ficelés par nos bourreaux qui décidèrent de nous attacher l’un contre l’autre
entièrement nu et face à face.
Nos bras furent enlacés l’un autour de l’autre et la corde servi à nous ficeler solidement pour que nous ne puissions nous détacher nous même. Une petite corde fut passée autour de nos genoux
pour nous empêcher de courir. Seules nos chevilles étaient libres et nous ne pourrions nous déplacer facilement. Nos ventres étant étroitement serrés l'un contre l'autre notre respiration été
difficile. Un véritable corset qui nous soudait l'un à l'autre. Si la douleur n'vait pas été aussi forte j'aurais certainelent apprécié la position.
Nos bourreaux avaient pris soin de ramasser nos vêtements et au moment de nous lâcher dans la nature dans cette position humiliante, ils enlevèrent les bandeaux qui nous empêchaient de
voir ; La lumière du soleil nous éblouie et nos agresseurs en profitèrent pour s’esquiver sans que l’on ait pu les voir et les identifier. Nous n’avions aucune idée sur leur
identité car nous étions persuadés de ne pas avoir été vu lors de la pose du portefeuille.
Les bouchons dans nos oreilles nous empêchaient d’entendre le moindre bruit. Marie parvint à faire glisser son bâillon et elle se mit à crier au secours. Après plusieurs tentatives, je lui
dis de ne pas insister. Il fallait mieux ne pas se faire voir dans cet état.
Nous étions là debout attachés l’un contre l’autre avec les fesses en feu et dans l’impossibilité de marcher correctement. Nos devions nous déplacer par petits pas en même temps car les liens
aux genoux ralentissaient notre marche, pour essayer de renter au camping ou pour espérer retrouver le "Gr" qui devait être un peu plus bas. Notre marche était difficile et la sueur eut pour
effet de faire glisser nos corps. Comme par magie cela permis à nos liens de se détendre, et pu faire glisser la corde petit à petit le long de nos corps. Il était préférable d’essayer de se
sortir tous seuls de ce piège plutôt que d’être secouru et retrouvé dans cette posture. Marie pleurait car la douleur était encore très forte. J’essayais pour ma part de ne pas penser à la
douleur de mes fesses, mais de me concentrer sur ces liens que je devais à tous prix réussir à enlever.
Au bout d’une bonne heure de combat, j’étais en nage et le contact du corps nu de Marie contre moi commençait à me faire un effet que Marie ne pu que constater. Impossible de faire
autrement, nous étions encore serrés l’un contre l’autre, et mon embarras devait se voir sur mon visage. Soudain les liens lâchèrent et nous pûmes nous libérer complètement.
Je regardais les fesses de Marie qui ressemblaient à un gros chou-fleur boursouflé et rouge écarlate. Elle me dit que mes fesses étaient horribles à voir. Je pouvais voir les dégâts sur ma
verge et sur la peau de mes bourses. Mon petit sexe était gonflé comme un gros radis rouge et mes testicules semblaient gonflées comme des balles de tennis. Si je n’avais pas eu aussi mal
j’aurais bien apprécié ce nouveau volume de mes attributs. Moi qui étais complexé par la taille de mon sexe, pour une fois le volume était impressionnant à voir.
Cependant la douleur ne passait pas et il nous fallait rapidement trouver un moyen de rafraichir notre peau. Marie me dit qu’un petit ruisseau était en contre bas du Gr.
Heureusement nos bourreaux nous avaient laissés nos chaussures et nous pûmes courir jusqu’au ruisseau pour nous asperger d’eau fraîche. Pendant plus d’une demi-heure nous nous aspergions
mutuellement pour calmer la douleur.
Mais il fallait commencer à rentrer car la nuit n’allait pas tarder à tomber et il faudrait justifier notre absence. De plus il allait falloir renter au camp tout nu sans vêtement.
Nous nous mimes à courir jusqu’au camp et sans regarder autour de nous nous regagnâmes nos tentes respectives. La nuit serait longue et il fallait ne rien laisser paraître de notre douleur
sous peine d’interrogatoire qui aurait été horrible à subir.
Le lendemain, nous retrouvions nos copains au bar et aucun ne fit une quelconque allusion à nos visages passablement fatigués. Marc restait sans réaction et nous ne pouvions nous douter un
instant que c’est lui qui avec l’aide de ses meilleurs amis avait décidé de se venger de nous.
Nous avions été pris à notre propre piège.
La souffrance que nous avons du endurer Marie et moi nous commandait de rechercher à tous prix à savoir si l’un de nos agresseurs faisait partie du camping.
Le hasard allait bien faire les choses. Marie rencontrait à la superette la mère de Marc et cette dernière l’ayant reconnu, elle se dirigea vers Marie pour la remercier d’avoir rapporter le
portefeuille de Marc. Le sang ne fit qu’un tour dans les veines de Marie réalisa tout de suite que Marc connaissait par sa mère les auteurs de l’affichage de ses photos secrètes.
C’était donc lui qui avait voulu se venger et qui avait organisé cette expédition punitive.
Je fus tout de suite informé par Marie et nous nous mimes à chercher comment nous venger sans que Marc puisse nous identifier.
C’est marie qui eu la meilleure idée. Elle savait que dans la pharmacie du camp il y avait des laxatifs très efficaces et qu’il suffisait de s’en procurer pour préparer nos représailles.
Le lendemain Marie prenait prétexte d’un traitement pour sa mère afin d’obtenir de la part de la stagiaire plusieurs sachets de laxatifs.
Le soir nous nous retrouvions régulièrement au bar de la piscine et c’est là que notre plan devrait prendre forme. Marie proposa innocemment d’offrir une tournée générale sous prétexte de
fêter son passage en terminale.
Pendant que Marc tournait le dos, Marie en profita pour verser dans son verre de coca trois sachets de laxatifs. L’effet devait se ressentir dans les dix minutes suivant la prise du
médicament.
Le compte à rebours avait commencé. Au bout de huit minutes, marc reçu un appel de la direction du camping à travers le haut parleur du camp. On le demandait au téléphone et il devait
rejoindre la cabine téléphonique installée à l’entrée du camp.
Marie avait usé du téléphone portable de ses parents pour faire appeler Marc. Le piège fonctionnait. Marc se dépêchait de se rendre à la cabine téléphonique.
Cette cabine avait ceci de particulier qu’elle était entièrement réalisée dans une petite case en bois pour assurer aux clients une parfaite isolation et une parfaite intimité. Un haut
parleur de la sonorisation du camp étant installé juste au dessus de la cabine, il avait été nécessaire de construire une cabane avec une bonne isolation phonique. Cela allait bien nous
servir.
Nous suivions Marc s’en qu’il s’en rende compte et dés qu’il referma la porte de la cabine, je bloquais le bas de la porte avec deux calles en bois que j’enfonçais sous la porte avec avec une
pierre. La porte était maintenant bloquée et Marc n’était pas prés de sortir de là.
La sonorisation du camp couvrirait sans problème ses appels à l’aide. Pour plus de sécurité nous avions récupéré le panneau « en panne » et nous l’avons mis au clou de la porte
d’entrée.
Il ne nous restait plus qu’à aller derrière la cabine et grimper sur un escabeau pour suivre à travers la petite lucarne la suite de notre plan.
Marc essayait de forcer la porte mais bientôt il fut pris d’une intense convultion et on imaginait facilement le début de sa diarrhée. On devinait par ses gesticulations qu’il n’allait pas
pouvoir se retenir longtemps. Les mains sur le ventre tordu dans tous les sens.
Pris au piège sans aucun moyen de sortir et dans une cabine vide il ne lui restait plus qu’à enlever son pantalon et son slip afin de ne pas les salir.
Nous l’apercevions les fesses à l’air entrain de se tenir le ventre pour retarder l’expulsion.
Soudain il se plia sous la douleur et un puissant jet sorti de son anus sans qu’il puisse l’arrêter, eclaboussant le sol et ses jambes. Il se vidait en longs jets saccadés et puissants, et
nous étions tous les deux impressionnés de la quantité de liquide qui sortait de ses fesses. Cela faisait dix bonnes minutes que Marc se vidait et tout le sol de la cabine était maintenant
rempli de ses déjections. Il avait expulsé au moins deux litres de liquide.
Nous étions ravis de notre vengeance et il ne nous restait plus qu’à signaler au gardien que la porte de la cabine de téléphone était bloquée. Marie profita de la pénombre pour dire au
gardien qu’il devait intervenir, il ne pourrait la reconnaître par la suite.
On vit le gardien prendre sa lampe de poche et se diriger vers la cabane. Il enleva rapidement les calles et en ouvrant la porte, il se trouva en face de Marc, les fesses à l’air pataugeant
dans ses excréments. L’odeur devait être épouvantable car le gardien fit un grand pas en arrière et Marc en profita pour filer en courant le plus vite possible, le cul à l’air qui continuait
à se vider pendant sa course.
Dans son empressement à fuir, il ne faisait plus attention aux flots de liquides qui continuer à couler le long de ses jambes.
Témoin jusqu’au bout de la scène nous étions pliés de rire et ravis que notre superbe plan ait fonctionné à merveille.
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