Le vendredi à 20 heures, je reçois un appel téléphonique, c’est elle. Moi qui devait la rappeler pour un rendez vous, je suis étonné de son appel.
« Viens immédiatement » me dit-elle, « je vais te faire passer une nuit dont tu n’a pas idée ».
Elle raccroche sans me laisser le temps de lui répondre, ni de l’interroger sur les raisons de son appel.
Deux solutions s’offrent à moi, soit je reste là et ma seule distraction pour la soirée sera de regarder la télé, soit je tente l’aventure. Mon excitation l’emporte vite sur mon petit confort
personnel et je saute dans ma voiture pour rejoindre la sortie de Bourges.
J’arrive très vite devant la villa. Je sonne, la porte s’ouvre.
Elle est débout dans le salon à côté d’elle se trouve par terre une laisse et un tas de fines cordes. Je commence à entrevoir ce qui va m’arriver.
« Mets-toi entièrement nu » me dit-elle sans autre forme de politesse.
Il fait chaud dans la villa et cela me rassure. J’enlève un à un mes vêtements et les dépose sur un fauteuil du salon. Je suis maintenant complètement nu en face d’elle attendant ses
ordres.
« A quatre pattes sur le parquet » me dit-elle.
« On va voir si tu obéis bien à ta maitresse »
Je me mets à genoux dans un premier temps et je la vois ramasser la laisse de chien et le collier qui y est attaché.
Elle me passe le collier en métal autour du coup puis me fourre son mouchoir dans la bouche.
« Marche à quatre pattes en suivant mon rythme ». Je suis obligé d’obéir et je commence à marcher sur le parquet en tournant avec elle autour du canapé et des fauteuils.
Une fois au milieu de la pièce, elle me fait asseoir et me demande d’écarter les jambes au maximum pour m’examiner.
« Ca n’a pas l’air de t’exciter beaucoup. Je ne te fais plus d’effet ? »
Je n’ose répondre. C’est vrai que mon sexe est tout recroquevillé et je n’ai pour le moment aucune envie d’avoir une érection.
Puisque c’est comme ça, tu vas être puni. Ca t’apprendra à ne pas être présentable devant moi.
Elle me conduit devant un fauteuil du salon en me tirant par le collier. Elle me fait asseoir et me demande de passer mes bras sous les accoudoirs et de poser mes pieds sur le fauteuil en
repliant mes jambes au maximum.
Je reste dans cette position inconfortable qui de plus lui laisse voir tout mon « entre jambes » le temps qu’elle revienne avec des cordes.
Elle commence par m’attacher les poignets et les chevilles aux accoudoirs du fauteuil afin de me maintenir dans cette position. Je ne peux rien lui cacher. Mon petit sexe pend entre mes jambes
et mes testicules frottent sur le tissu rayé du fauteuil.
« Maintenant que tu es bien en place, je vais commencer par te raser les couilles. Je déteste te voir ainsi exposé avec ses vilains poils qui me cachent la vue ». Elle part à la salle
de bain et en revient avec un rasoir. Je suis étonné de ne voir ni savon, ni mousse à raser.
Elle s’approche de moi et commence à me passer le rasoir directement sur les testicules, sans aucune préparation. Le contact de la lame me brule la peau et chaque passage du rasoir et un
véritable supplice. Au bout du huitième passage, je suis tondu et lisse comme un nouveau né.
Elle contemple son travail et se met à rire. Elle se baisse et ramasse une autre corde.
Elle s’approche de mon sexe et passe la corde autour de mes bourses. Elle fait plusieurs tours pour les emprisonner et attache la corde bien tendue derrière mon coup.
J’ai le sexe en feu et les couilles tirées vers le haut par cette corde qui me compresse et me fait mal.
Tu vas rester dans cette position le temps que j’aille faire des courses pour le diner. Ne pouvant pas lui répondre à cause du bâillon, je fais un petit oui de la tête afin de ne pas la
contrarier.
Elle sort en claquant la porte et me laisse dans cette position inconfortable, les testicules à vifs à cause du rasoir.
Les minutes passent et je commence à avoir du mal à me tenir en place. Au bout d’une demi-heure, la porte s’ouvre et je vois dans l’entrée une silhouette qui m’est totalement inconnue.
Je suis pris de panique. Je ne connais pas la personne qui vient de rentrer, mais j’en suis certain, ce n’est pas ma « maitresse ». Cette femme est blonde aux cheveux longs et porte
un grand foulard sur la tête. Je la vois toujours dans l’entrée déposer son manteau et elle m’apparaît vêtue d’une combinaison en cuir noir. Elle se dirige vers moi sans un mot.
Pétrifié de honte, mais aussi de peur, je baisse les yeux pour ne pas croiser son regard.
Toujours sans prononcer le moindre mot, elle me détache les mains et les chevilles, mais laisse en place la corde qui me tenaille les testicules. Elle me tire en avant à l’aide de cette corde
et me conduit dans la chambre.
Elle me fait signe avec son doigt de m’allonger sur le lit. J’obéis sans oser protester et me allongé retrouve sur le dos. Elle commence par me rattacher les chevilles ensembles, puis m’attache
les poignets aux montants du lit en bois.
Elle tire à nouveau sur la corde qui me lie les bourses et l’attache plus serrée derrière mon coup. J’ai soudain les testicules qui sont à nouveau tirées vers le haut et cela me fait un mal de
chien. Je gémis sous mon bâillon pour lui montrer que je souffre.
Elle doit s’en rendre compte, car elle attend seulement une dizaine de minutes avant de me libérer les bourses.
Une fois cette corde enlevée, elle me relève les jambes et me repasse la corde sous les genoux et derrière mes coudes. Une fois attachée ainsi, je ne peux plus baisser mes jambes et je ne peux
cacher, ni le dessous de mes couilles, ni mes fesses qui s’ouvrent par cette nouvelle position. Je sens mon anus offert à sa vue se rétracter et je ne peux contenir un frémissement.
Je reste dans cette position inconfortable quelques minutes le temps pour mon bourreau de mettre un gant en caoutchouc. J’entends le latex claquer contre sa peau. Je devine malheureusement à
quoi va servir ce gant.
Je sens tout d’un coup le contact d’un doigt contre mon anus. Elle commence à me titiller afin de mieux pénétrer. Elle a certainement mouillé son doigt avec de la salive car je sens couler
quelque chose le long de mes fesses.
Une fois légèrement dilaté par ses mouvements, mon anus n’offre plus aucune résistance. Elle enfonce un doigt complètement et commence à tourner son index dans mon rectum. Avec son pouce, elle
appui sur le bas de mes bourses pour mieux pousser en avant. Je suis mort de honte. Etre ainsi exposé nu, les cuisses écartées devant une inconnue qui vous sodomise sans un mot. Elle continue
maintenant avec un deuxième doigt afin de dilater au maximum son anus qui était encore vierge il y a quelques jours.
Au bout d’une bonne heure de supplice, elle enlève son gant et se retourne. Elle quitte la pièce, sans prononcer une parole, et je l’entends remettre son manteau et claquer la porte d’entrée en
sortant.
Je me retrouve à nouveau seul dans cette position très inconfortable. Mon anus me fait mal et j’ai envie d’aller aux toilettes car j’ai du mal à me retenir.
Les minutes passent et j’ai de plus en plus de mal à me retenir. J’ai beau contracter mes sphincters, je sens bien que je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps.
J’entends soudain la porte s’ouvrir et mon angoisse prend fin car je vais peut être pouvoir aller me soulager. Ma maitresse entre dans la chambre et me regarde sans dire un mot. Elle fixe
soudain mon anus et aperçoit en peu de liquide qui commence à vouloir sortir de mon anus. Je gémis pour lui faire comprendre que je ne vais pas pouvoir me retenir. Elle a bien compris le
message et me détache.
Je pense alors pouvoir m’enfuir en vitesse aux toilettes, mais son idée est toute autre.
Elle me tire par les testicules et me fait basculer sur la table qui se trouve devant la grande fenêtre. Elle me force à mis allonger sur le ventre et me rattache, les bras dans le dos, les
cuisses écartées et pour bien me maintenir en place, elle fait passer une corde dans ma bouche et l’attache dans mon dos. Ainsi ficelé, je ne peux plus bouger.
Je sens que je vais me vider car même en serrant au maximum mes sphincters je commence à sentir la pression intérieure que je ne pourrais contenir. Ma maitresse revient avec un sceau et me le
place sous les fesses.
Pour mieux m’humilier elle m’écarte les fesses avec ses mains et je sens immédiatement un jet sortir de mon anus. Je me vide dans un flot ininterrompu et je me met à pleurer de honte et rage de
m’être laissé embarquer dans cette soirée.
Toujours silencieuse, ma maitresse procède à ma toilette intime, et elle m’essuie consciencieusement les fesses avec du papier toilette. Je sens sa main passer entre mes fesses pour enlever
toute trace de saleté. Puis je sens un gant de toilette humide passer entre mes cuisses, mes fesses et laver tout mon entre jambes. Le parfum du savon me fait retrouver un peu de plaisir et
bizarrement, je ne peux retenir une érection.
Ma maitresse s’en rend compte et elle éclate de rire.
« Gros cochon, c’est comme ça que tu prends du plaisir ? »
« Je vais te clamer, ça t’apprendras »
Elle me fait remettre debout et me ramène sur le lit. Elle me force à me coucher à plat ventre et s’assoie à côté de moi pour m’attacher à nouveau.
Elle m’attache les chevilles et les poignets reliés ensemble, croisés dans mon dos afin de m’immobiliser complètement et m’empêcher tout retournement. Me voila encore dans une position je
n’ai aucune chance de pouvoir de détacher.
Une fois les cordes solidement attachés, elle m’indique que je vais passer la nuit comme cela.
« Ce sera ta punition pour avoir taché mon dessus de lit »
Elle se relève et sans attendre elle éteint la lumière, me plongeant dans le noir total.
La nuit allait être longue…….
Au petit matin, j’ouvrais les yeux et je me trouvais en face de la magnifique blonde d’hier soir. Elle me fixait et attendais que je sois complètement réveillé. Je la regardais avec la tête
tournée sur le côté compte tenu de ma position et je la vis tirer sur son foulard et sur ces cheveux. Le postiche lui resta dans les mains et je vis apparaître ma maitresse.
Elle s’était bien moquée de moi. Il n’y avait pas eu d’autre femme, c’était elle qui avait joué le rôle de l’inconnue.
Soulagé, je me mis à rire intérieurement.
Derniers Commentaires