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(I)
Le mec m’avait donné rendez-vous sur un parking d’autoroute. Ses recommandations étaient simples : ne mettre que skets et short, garer ma bagnole dans un endroit tranquille de cette aire d’autoroute et choisir une place avec d’autres places vides pas trop éloignées, évidemment, être à l’heure.
J’étais arrivé avant lui et je l’attendais. Pendant ce court moment des bagnoles étaient venues se stationner juste à côté de ma place et déjà ça ne me rassurait pas …….. je n’avais pas mis plus de vêtement que le mec n’avait voulu. Une bagnole arrive, se gare à trois places et un mec en descend. C’est lui. Il repère ma voiture et s’en approche, frappe à la vitre conducteur que j’ouvre.
- Lui : Ok c’est bon, t’as respecté la tenue
- Moi : (je ne dis rien)
- Pour moi c’est ok, on fait le trip
Il passe sa main par la vitre ouverte et me touche un téton. Je reste stoïque.
- Lui : tu descends ton short
- Moi : là maintenant ?
- (Pas de réponse de sa part)
Comme il ne bouge pas je prends l’élastique du short en dessous du nombril et le tire vers les genoux. Les voitures du parking continuent de circuler et des gens marchent un peu partout. En même temps qu’il regarde ce que je déballe, il surveille à droite et à gauche.
- Lui : t’es encore mou
- Moi : (je ne dis rien)
- Tu remballes et te me suis. Ferme ta bagnole et tu me donneras les clés et les papiers.
Il s’en va. Je remets le short en place et sort de la bagnole et la verrouille. Je vais jusqu’à la sienne en passant à côté de gens qui se détendent sur le parking. Quand il me voit arriver, il m’ouvre la porte de l’intérieur et me dit de m’asseoir devant à côté de lui.
- Lui : mets des papiers et tes clés dans la boite à gants
Il démarre, sort du parking et s’engage sur l’autoroute. A la 1ère sortie il bifurque et emprunte une route départementale, puis une autre bifurcation qui mène à un village. Alors qu’on s’en approche il me dit que quitter le short parce que désormais je n’en aurai plus besoin et de le mettre aussi dans la boite à gants. Short retiré je suis scotché au siège pendant qu’on traverse le patelin. De temps en temps il me regarde pendant qu’il conduit, quand la route est droite il me la touche avec sa main droite et s’amuse un peu avec.
Sortie du village, on roule le long d’une voie ferré à vitesse lente. Il s’arrête à un parking le long de la route. Il coupe le moteur et me regarde.
- Lui : t’as l’air con tu sais !
- Moi : je m’en doute
- Tu sais ce qui va se passer maintenant ?
- Non
- Tu sais vraiment pas ?
- Non
Il rigole d’un air assez narquois….
- Lui : tu vas sortir et je vais te laisser. Moi je repars en bagnole et tu restes seul.
- Moi : tu vas pas faire ça ? ? ?
- Si ! t’en as envie mec !
- Tu me laisses à poil ?
- T’es pas complètement à poil tu as des skets
- Mais tu viens me rechercher ?
- Non, c’est toi qui va venir me rejoindre
- Où ça ?
- On est passé tout à l’heure à la sortie du patelin à côté d’un arrêt de bus. Je t’attendrai là.
- Et comment j’y vais ?
- En marchant mec, tu te démerdes, c’est ton problème, tu suis la voie ferrée et la route, c’est tout droit
- Tout droit en longeant la route ? et les voitures qui passent ?
- C’est ton problème mec. Tu passes par où tu veux mais maintenant tu sors et tu y vas moi je me casse.
- Et si t’es pas au rv ?
- J’y serai
Je commence à flipper à mort et comprends que je peux pas me défiler.
- Lui : ça me plait de te voir comme ça, t’est trop con mec
- Moi : je pensais pas que tu me ferais faire un truc comme ça
- Maintenant faut assumer, je veux pas baiser avec toi, je veux te voir sortir à poil et te laisser là en plan. Je veux savoir que tu vas devoir marcher jusqu’au rv à poil dehors
Il me touche et me tripote.
- Lui : faudrait que tu bandes avant de sortir, ça me plairait encore plus
- Moi : (suis gêné et ne dis rien)
- Imagine que peut-être des gens vont te croiser, que tu seras vu par des gens dans les trains qui passent
Il continue à me toucher
- Lui : tu me plais, t’as l’air trop con
- Moi : (gros stress, je ne dis toujours rien)
- Ca y est, tu commences à être excité, c’est ça que je veux de toi
- Putain ……
- Termine-toi avec la main, je te regarde
Effectivement, je n’ai besoin de m’appliquer très longtemps pour que je sois en érection totale.
- Lui : allez, tu sors, tu pars devant la voiture, je veux te regarder marcher, quand je te verrai plus je partirai à mon tour
- Moi : d’accord
- Il est 21h30, t’as encore une heure de jour, le soleil se couche d’ici 22h30, t’as une heure pour me rejoindre
- Une heure ? c’est énorme ?
- Non tu verras, ça va passer vite
Il la touche très vulgairement et s’amuse avec
- Lui : allez, descend, t’es super con comme ça
Je prends ma respiration, ouvre la portière, descends de la bagnole, referme la portière et me retrouve seul dehors. Nu.
Il faut marcher et partir devant la bagnole. Je suis gêné par le poids du pénis érigé qui bouge devant moi dans l’air frais. Il me fait un appel de phare, je me retourne vers lui. Il démarre et passe à côté de moi en klaxonnant.
Il est parti.