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Ai-je atteint le plafond ?
Dans l’ascenseur qui nous amène chez lui, comme pour bien me faire comprendre le prix que va me couter ma nuit, il commence à me peloter et à m’embrasser goulument. Ce n’est pas désagréable même
si j’aurais préféré prendre un bain avant, je le laisse faire. Mon érection est instantanée. Sa main s’insinue dans ma braguette et extrait mon sexe. Une odeur de poissonnerie abandonnée se
répand dans la cabine. Ça n’a pas l’air de le gêner car il s’accroupit et hume mon gland avant de le gober. Ma première pipe, je n’en connaissais pas les sensations et je manque exploser dans sa
bouche sans crier gare. Mais l’ascension s’arrête déjà.
Arrivés chez lui il souhaite que je ne me lave pas avant demain matin car il aime mon odeur. A l’inverse de moi, qui n’ai pas pris de douche depuis 4 jours, lui est parfaitement propre et soigné. J’en remercie le ciel, bien que le ciel n’y soit pour rien dans l’affaire.
Je connaitrai ma première fellation. La sensation d’avoir un membre palpitant à lécher et sucer comme un sucre d’orge est extraordinaire. Allongés nus sur son lit, je m’occuperai de son vit pendant de longues minutes que j’aurai aimé multiplier à l’infini alors qu'il veut déjà me faire connaître d’autres impressions. Il souhaite « me bouffer le cul » comme il dit. Je suis mal à l'aise. J'ai des scrupules quand à mon hygiène intime. Je résiste un petit moment mais il menace de me renvoyer sous mon carton, ça sera sa seule démonstration de force. Il s’allonge sur le dos et me demande de m’accroupir sur son visage. Avec une main il me prend les bourses, avec l’autre le sexe et il m’attire vers lui. Sa langue sur ma rosette me fait l’effet d’une bombe. Je n’imaginais pas qu’on puisse avoir de telles sensations. Conjuguée à ses mains sur mes parties, sa langue me propulse au-delà du septième ciel et libère la semence accumulée en un geyser monumental. Ai-je atteint le plafond ? Ce n’est pas impossible ! Je pousse un râle qui doit réveiller tout le voisinage, mon corps est pris de soubresauts incontrôlables et je m’effondre. Il faudra tout de même que j'apprenne à me contrôler si je ne veux pas passer pour un éjaculateur précoce.
Je suis inerte. Lui va se terminer à la main. Il va jouir sur mon visage puis étaler sa semence avant de m’embrasser une dernière fois et s’endormir après m’avoir pris dans ses bras.
Arrivés chez lui il souhaite que je ne me lave pas avant demain matin car il aime mon odeur. A l’inverse de moi, qui n’ai pas pris de douche depuis 4 jours, lui est parfaitement propre et soigné. J’en remercie le ciel, bien que le ciel n’y soit pour rien dans l’affaire.
Je connaitrai ma première fellation. La sensation d’avoir un membre palpitant à lécher et sucer comme un sucre d’orge est extraordinaire. Allongés nus sur son lit, je m’occuperai de son vit pendant de longues minutes que j’aurai aimé multiplier à l’infini alors qu'il veut déjà me faire connaître d’autres impressions. Il souhaite « me bouffer le cul » comme il dit. Je suis mal à l'aise. J'ai des scrupules quand à mon hygiène intime. Je résiste un petit moment mais il menace de me renvoyer sous mon carton, ça sera sa seule démonstration de force. Il s’allonge sur le dos et me demande de m’accroupir sur son visage. Avec une main il me prend les bourses, avec l’autre le sexe et il m’attire vers lui. Sa langue sur ma rosette me fait l’effet d’une bombe. Je n’imaginais pas qu’on puisse avoir de telles sensations. Conjuguée à ses mains sur mes parties, sa langue me propulse au-delà du septième ciel et libère la semence accumulée en un geyser monumental. Ai-je atteint le plafond ? Ce n’est pas impossible ! Je pousse un râle qui doit réveiller tout le voisinage, mon corps est pris de soubresauts incontrôlables et je m’effondre. Il faudra tout de même que j'apprenne à me contrôler si je ne veux pas passer pour un éjaculateur précoce.
Je suis inerte. Lui va se terminer à la main. Il va jouir sur mon visage puis étaler sa semence avant de m’embrasser une dernière fois et s’endormir après m’avoir pris dans ses bras.
Dim 11 jui 2010
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