jeux gage exhib fantasme voyeur

PENSIONNAT A NICE

Pensionnaire à Nice, l’internat situé à l’extérieur du collège était mixte et les « flirts » entre garçons et filles étaient nombreux.

Un soir nous avions décidé de bizuter Antoine. C’était une tradition bien établie dans ce collège et tous les nouveaux arrivants à l’internat devaient passer « l’examen » devant les plus anciens.

Antoine était très timide et avait une peur bleu des filles. C’était le puceau par excellence.

Comme tout nouvel interne il devait subir le bizutage concocté par les plus grands.

 

Les chambres des garçons étaient des chambres de six et Antoine dormait en haut d’un des trois lits superposés. Toute la chambrée à l’exception bien sur d’Antoine savait que cette nuit son bizutage allait avoir lieu. Vers une heure du matin, il dormait profondément les plus costauds attrapèrent en même les pieds et les mains d’Antoine pour l’immobiliser. Hervé lui mis la main sur la bouche pour étouffer ses cris.

 

Portés par une dizaine de bras vigoureux, il fut amené dans le vestiaire des filles. Ce vestiaire était une grande salle toute en carrelage ou étaient fixés tout autour de la pièce de grands radiateurs en fonte. Afin de pouvoir commencer le bizutage sans risque de réveiller le pion qui dormait au dessus, Antoine avait été bâillonné à l’aide d’un gant de toilette qui lui recouvrait la bouche, le tout maintenu en place par plusieurs tours de rouleau d’adhésif. Hervé qui s’était occupé de réduite Antoine au silence n’avait pas lésiné sur la longueur d’adhésif. Antoine pouvait toujours essayer de crier, aucun son audible ne sortait de sa bouche.

 

Jean le plus ancien regarda Antoine dans les yeux et lui dit sur un ton ferme :

« Tu vas passer la nuit ici à attendre que les filles viennent se changer avant de prendre leur douche ».

Ordre fut donné de le déshabiller entièrement. Son haut de pyjama lui fut enlevé non sans mal car Antoine gesticulait dans tous les sens pour échapper à son bizutage. Mais seul contre tous, il ne pouvait rien faire. Il tentait bien de donner des coups de pieds qui n’atteignaient que le vide, mais bien vite la fatigue eue raison de lui et Jean en profita pour lui arracher le bouton de son bas de pyjama. Ne tenant plus sur ces hanches il tomba de lui-même sur les chevilles d’Antoine. Deux mains complices le lui ôtèrent complètement. Il était maintenant entièrement nu et sans défense.

Les bras écartelés au maximum, Antoine fut plaqué le dos contre le plus grand des radiateurs de la pièce. Une fois les bras mis en croix, Hervé lui attacha les poignets aux montants à l’aide de cordes qui avaient été préparées à cet effet.  

Le radiateur n’étant pas très haut, il avait fallu assoir Antoine. Les fesses nues sur le carrelage, il se trouvait maintenant solidement arrimé au radiateur. Restait à lui attacher les jambes.

 Pour lui maintenir les jambes écartées afin que les filles puissent profiter au mieux du spectacle, il fallait en premier lui attacher les genoux en les repliant en arrière et vers le haut de son corps pour pouvoir les attacher aux éléments en fonte du radiateur. Une fois ses genoux bien écartés et solidement ficelés, ses chevilles furent également attachées au radiateur.

 

Antoine se trouvait dans un position ridicule mais pas trop inconfortable pour passer la nuit. Il était en position presque assise car ses fesses et le bas de son dos reposaient sur le sol, les bras en croix et les jambes écartelées au maximum afin de ne rien cacher de sa nudité. Ces yeux révulsés de colère nous montraient son désarroi. Il avait une vue directe et impenable sur son sexe ainsi exposé.  Ses testicules étaient bien dégagées et son anus s'exposait avec impudeur. Les quelques poils n'arrivaient pas à cacher les plis de son tour du cul.

 

Pour ne plus avoir à affronter le regard d’Antoine, Hervé lui mis un gros morceau d’adhésif sur les yeux. Maintenant en plus de ne pouvoir parler, il était devenu « aveugle ».

 

Antoine allait devoir passer le reste de la nuit ainsi attaché à attendre que quelqu’un veuille bien le détacher. On allait le découvrir dans cette position humiliante et cela devait le paralyser d’angoisse car il ne bougeait plus du tout. De toute manière même s’il l’avait voulu, il ne pouvait absolument pas resserrer ses jambes et ses jambes resteraient écartées comme un compas qui fait le grand écart.

 

Sa grosse touffe de poils foncée n’arrivait pas à cacher son sexe bien développé pour son âge qui pendait maintenant entre ses jambes écartées. Il était incroyablement poilu. Ses testicules rondes comme des balles touchaient le sol et c’était assez drôle de le voir ainsi les genoux relevés ce qui permettait presque de voir son trou du cul.

 

Pierre donna le signal du départ mais avant de partir il laissa à côté d’Antoine une tondeuse électrique et un mot qu’il avait écrit sur un morceau de papier.

 Antoine se retrouva bientôt seul dans le noir, dans cette pièce ou il allait devoir patienter jusqu’au matin.

 

A la sonnerie de sept heures, les filles se rendirent au vestiaire pour se déshabiller afin de prendre leur douche. Les premières arrivées découvrirent Antoine attaché nu au radiateur qui dormait profondément. La fatigue avait eu raison de lui.

 

Maintenant toutes les filles étaient autour de lui et regardaient avec curiosité et amusement sa virilité ainsi exhibée à la vue de toutes. Les rires et les commentaires n’arrivaient même pas à le réveiller.

 

Michèle, la plus hardie se baissa pour ramasser le petit mot et se mit à le lire à haute voie.

Le bizutage ne sera complet que si vous vous servez de la paire de ciseaux. Trouvez ce qu’il faut couper et faites en bonne usage. Le message était clair il fallait que les filles participent aussi au bizutage d’Antoine.

 

L’une des filles s’écria : «  il faut le tondre et lui couper les poils des couilles ».

Sous les encouragements collectifs, Michèle entrepris de tondre tous les poils pubiens d’Antoine. Elle prenait du bout des doigts une petite touffe de poils et les passait la tondeuse t d’un geste précis. Les poils s'en allait par touffes entières.

 Au bout de quelques minutesle bruit de la tondeuse finit par reveiller Antoine.
Il se réveilla au fur et à mesure que se poursuivait la tonte. Il ne pouvait voir qui s’occupait de son intimité à cause du sctoch sur les yeux, mais il commençait à se gigoter pour montrer sa réprobation.
La ton deuse continuait son travail et Antoine compris ce qui se passait en sentant passer et repasser le sabot de la tondeuse sur son intimité.

 


Pour pousser un peu plus le vice, Michèle s’attaqua aussi aux poils de ses bourses et de la raie de ses fesses.

Elle commenca à passer avec délicatesse la tondeuse sur ses testicules. Elle les prit dans sa main pour bien les caller et ne pas le blesser. Le jeu était drole s'il ne faisait pas mal au bizuté.
Elle s'appliquait pour enlever tous les poils qui recouvraient ses petites boules et qui commencaient à devenir complètement imberbes.

Michèle avait l'habitude de raser des parties intimes et son travail était celui d'une experte.
Les deux petites couilles d'Antoine était maintenant complètement débarassées de poils et elles étaient rougies par le passage de la lame.

Antoine avait maintenant deux minuscules tomates rouges entre les jambes.

La « toilette » une fois terminée, elle arracha d’un coup sec le morceau de scotch qui aveuglait Antoine. Ce dernier se retrouva nez à nez avec tout le dortoir des filles qui avaient une vue imprenable sur son sexe maintenant tondu. Son regard traduisait sa gène et des larmes commençaient à couler sur ses joues. 

 Il était debout, entièrement nu devant les filles, les bras maintenus en l'airr, le sexe rasé et l'une des filles tirait sur sa verge et sur le bout de son gland, afin de l'humilier un peu plus. Les filles riaient, car le spectacle était vraiment comique.
On voyait ses testicules rasées aussi lisses que des balles de ping pong. Il allait devoir patienter longtemps avant que les poils ne repoussent !!!!

Les filles eurent enfin pitié de lui et le détachèrent. L’une d’elle lui donna même son peignoir afin qu’il puisse dignement regagner sa chambrée. Antoine ne demanda pas son reste et parti en courant se réfugier sous la couette de son lit. Il y resta toute la journée repassant dans sa tête ce cauchemar. Les filles allaient le chambrer tout le reste de l’année.

Et maintenant chaque fois qu'il irait à la douche, les autres élèves se moqueraient de son sexe tondu.

Sam 17 jui 2010 Aucun commentaire